Sandales de Palestine "Peace Steps" HOMME et FEMME

FIN DE SERIE : du coup il ne nous reste ,i toutes les tailles ni tous les modèles.

Notre modèle existe en version avec ou sans fleur, avec ou sans boucle au gros orteil, avec ou sans boucle à l'"arrière du talon. 

LES GRANDES TAILLES (40 et au-delà) sont "genrées" Hommes. LES PETITES TAILLES (jusqu'à 38) sont "genrées" FEMMES. Certains modèles "genrés" femmes comportent une petite fleur en cuir discrète qui ne figure pas sur la photo. Le mieux est de nous préciser dans un message d'accompagnement de votre commande si vous préférez avec ou sans boucle au doigt de pied, et si votre choix est une condition impérative ou si on peut vous envoyer l'autre modèle.

LA COOPERATIVE PEACE STEPS

Peace steps hand crafts était une coopérative palestinienne créée en 2009. Elle confectionnait à la main des sandales en cuir conçues avec des matériaux locaux et utilisant une main d’oeuvre locale. Elle faisait ainsi l’éloge des produits traditionnels et du savoir faire historique de la Palestine concernant l’artisanat du cuir.

La coopérative était installée dans le camp de réfugié de Kalandia (Cisjordanie occupée), qui se situe à 12 km au nord de Jérusalem et à 5 km au sud de Ramallah. Les bénéfices produits par la coopérative ont été reversés aux services sociaux pour enfants des camps de réfugiés de Kalandia et Shu’fat.

La coopérative était gérée par un conseil composé de 2 directeurs des services sociaux pour enfants (l’association AI Quds du camp de Shu’fat et le centre pour enfants du camp de Kalandia), 2 coordinateurs éducatifs responsables des services mentionnés et un représentant de l’ONG Venta di terra (son partenaire italien). La coopérative employait 7 personnes, vivant tous dans les camps de réfugiés.

Les services sociaux soutenus financièrement par la coopérative, organisaient des activités parascolaires ainsi que le soutien social et psychologique des enfants et de leurs familles dans les camps de réfugiés de Shu’fat (Jérusalem Est) et de Kalandia (Ramallah). Les services étaient dirigés par des équipes d’éducateurs, de psychologues et de travailleurs sociaux. Ils luttaient pour développer une culture de la paix et des alternatives concrètes à la violence et au manque de perspective engendré par la colonisation.

La coopérative a fermé ses portes suite à un énième blocus de ses approvisionnements et de ses travailleurs/ses par l'occupant israélien.