L’Art de
Joan Baez
Ballades & songs
Fille d’un brassage culturel unique (père scientifique mexicain, mère irlandaise) la jeune Joan Chandos Baez n’a eu jamais le temps de se poser trop de questions par rapport à la musique. Elle faisait partie de la culture religieuse de ses parents et chantait du gospel le dimanche dans les églises de New York, puis de Californie. Née en 1941, Joan Baez est le produit d’une génération qui brisera tout les carcans culturels des années 50 : la révolte contre le maccarthisme, l’opposition à la guerre du Viêt-Nam, l’engagement de la jeunesse à côté des pauvres. Chanson, espoir et révolution. C’est Joan Baez qui fera découvrir le jeune Bob Dylan, avec lequel elle partagera amour et rêves. Elle n’hésitera à embrasser la cause des opprimés, les marches pour les droits civiques et les campagnes antiracistes de Luther King. La « Madonna des pauvres gens », comme on la surnomma, sera de toutes les batailles pour la justice et la mémoire.
22 chansons dont "Don't cry for me Argentina", "Ballade of Sacco and Vanzetti", "Blowin' in the wind", Joe Hill, etc.
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