L'homme superflu. Théorie politique...

L'homme superflu. Théorie politique de la crise en cours

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L'idéologie capitaliste (travail et consommation, compétition de tous contre tous, etc.) nous conditionne, nous les salariés / consommateurs, à nourrir la machine à produire. La domination du capital est économique, culturelle, politique, etc. et tout aussi "totalitaire" que dans les régimes du même nom... et cherche à nous faire consentir à devenir les humains superflus de demain.

 

La domination totale du capitalisme ne fonctionne que parce qu'elle passe pour naturelle, du fait de l'efficacité de ces « appareils stratégiques capitalistes » mondialisés que sont le sport, l’éducation, les médias, l’industrie culturelle ou encore l’armée, etc. S'appuyant sur Althusser et d'autres, l'auteur décrypte les mécanismes de domination et met en lumière les catégories centrales du « projet » qui requiert désormais notre adhésion : l’élimination de la complexité et de l’altérité par l’accélération de la marchandisation et du divertissement, la production d’une masse atomisée d’individus privés de toute puissance d’agir, l’organisation des rapports de production autour de la notion de superfluité. Derrière ce projet capitaliste resurgit ainsi, sous un nouveau jour, l’un des traits majeurs des expériences totalitaires du XXe siècle, selon Hannah Arendt : la superfluité de l’homme lui-même comme principe ordonnateur du monde.

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