Boris Vian

BORIS VIAN ET SES INTERPRÈTES 1950-1959 (BORIS VIAN, JULIETTE GRÉCO, MOULOUDJI, HENRI SALVADOR...)

29,99 €
TTC

Boris Vian est un de ces aventuriers solitaires qui s’élancent à corps perdu à la découverte d’un nouveau monde, la chanson. Si les chansons de Boris Vian n’existaient pas, il nous manquerait quelque chose.
Georges Brassens

 

Il s’en moquait, le parodiait, et pourtant il avait tout compris : Boris Vian est le premier rocker français !
Gilles Verlant 

Cette anthologie a pour but de mettre en lumière l’oeuvre musicale de Boris Vian à travers ses chansons chantées par lui-même et par d’autres interprètes. Olivier Julien, auteur chez Frémeaux & Associés d’une « Intégrale Serge Gainsbourg », présente ici les multiples facettes musicales de Boris Vian entre 1950 et 1959 : la création d’un véritable répertoire qui sera immortalisé en chanson et en jazz, ainsi que l’invention du Rock ‘n’ Roll français !
Patrick Frémeaux

Boris Vian is one of those solitary adventurers who throw themselves headlong into a new world, song. If the songs of Boris Vian didn't exist, we'd be missing something. They have that irreplaceable je-ne-sais-quoi which makes any work of art interesting and timely. I've heard some people say they didn't like them. Much good may it do them! There'll come a time, as they say, when dogs will need their tails and every audience will need the songs of Boris Vian.
Georges Brassens

Droits : DP / Frémeaux & Associés

CD1 :
BORIS VIAN CHANTE BORIS VIAN : LES ENREGISTREMENTS ORIGINAUX - BORIS VIAN (CHANSONS POSSIBLES ET IMPOSSIBLES) MIXAGE ORIGINAL : LES JOYEUX BOUCHERS • BOURRÉE DE COMPLEXES • LA JAVA DES BOMBES ATOMIQUES • ON N’EST PAS LÀ POUR SE FAIRE ENGUEULER • JE BOIS • JE SUIS SNOB • LE DÉSERTEUR • COMPLAINTE DU PROGRÈS (LES ARTS MÉNAGERS) • CINÉMATOGRAPHE • LE PETIT COMMERCE • ON N’EST PAS LÀ POUR SE FAIRE ENGUEULER (VERS. 45-T). FREDO MINABLO : BAMBINO «GUAGLIONE» (CHOEURS : BORIS VIAN). BORIS VIAN INVENTEUR DU ROCK ‘N’ ROLL FRANÇAIS - HENRY CORDING (HENRI SALVADOR) : ROCK AND ROLL MOPS • DIS MOI QU’TU MAIMES ROCK • ROCK HOQUET • VA T’FAIRE CUIRE UN OEUF MAN. MAGALI NOËL : FAIS-MOI MAL JOHNNY (CHOEURS BORIS VIAN) • ALHAMBRA-ROCK • STRIP-ROCK • ROCK DES PETITS CAILLOUX.

CD2 : BORIS VIAN ET LE ROCK ‘N’ ROLL FRANÇAIS - PEB ROCK : CHAPERON ROCK • ROCK À LA NICHE. ROCK FAILAIR : ROCKIN’ GHOST • ROCK DE MONSIEUR FAILAIR • REQUINS DRÔLES • ROCK MONSIEUR • COEUR DE ROCK • ROCK AND ROLL SERENADE • ROCKIN’ PARTY. DANYEL GÉRARD : D’OU REVIENS-TU BILLIE BOY («WHERE HAVE YOU BEEN BILLIE BOY?»). DIDIER LAPEYRÈRE : PLUS JAMAIS («RAUNCHY»). GABRIEL DALAR : CROQUE CRANE-CREUX («THE PURPLE PEOPLE EATER») • 39°DE FIÈVRE («FEVER»). ZACK MATALON : SES BAISERS ME GRISAIENT («KISSES SWEETER THAN WINE») • CELUI QUI TIENT LE MONDE DANS SES MAINS («HE’S GOT THE WHOLE WORLD IN HIS HANDS»). ELISE VALLÉE : D’OU REVIENS-TU ELISA («WHERE HAVE YOU BEEN BILLIE BOY?»). ROLAND GERBEAU : FRANKENSTEIN. JUAN CATALANO : SES BAISERS ME GRISAIENT («KISSES SWEETER THAN WINE») • L’ARBRE AUX PENDUS («THE HANGING TREE»). TITRES BONUS - MOUSTACHE : CROQUE CRANE-CREUX («PURPLE PEOPLE EATER»). STEPHEN BRUCE : CELUI QUI TIENT LE MONDE DANS SES MAINS («HE’S GOT THE WHOLE WORLD INHIS HANDS»). SIMONE ALMA : 39° DE FIÈVRE («FEVER»).
 
CD3 : BORIS VIAN CHANTÉ PAR SES INTERPRÈTES : LES CRÉATIONS - HENRI SALVADOR : C’EST LE BE BOP. MOULOUDJI : LE DÉSERTEUR • J’SUIS SNOB • VALSE JAUNE • CINÉMATOGRAPHE. RENÉE LEBAS : NE TE RETOURNE PAS • AU REVOIR MON ENFANCE • SANS BLAGUE • MOI MON PARIS. SUZY DELAIR : RELAX. LES FRÈRES JACQUES : LE TANGO INTERMINABLE DES PERCEURS DE COFFRES-FORTS. PIERRE BRUN : MOZART AVEC NOUS. LOUIS MASSIS : JAVA JAVANAISE • LA FIANCÉE DU CAPITAINE. JEAN-LOUIS TRISTAN : PLACE BLANCHE. ELISE VALLÉE : JE CHASSE. LONA RITA : SNACK-BAR GARE ST-LAZARE. JULIETTE GRECO : MUSIQUE MÉCANIQUE. JACQUELINE FRANÇOIS : BAL DE VIENNE («SENTIMENTAL TOUCH»). GARÇONS DE LA RUE : TANGO POIVROT. TITRES BONUS - LES QUATRE BARBUS : GSTAAD POM POM (LA PERLE DE L’OBERLAND). ROSE MANIA : C’EST LE BE BOP (INÉDIT).
Liste des articles de presse consacrés à ce CD :
- « L’éditeur missionne des chercheurs d’or » par Libération
« Pas besoin d'embarquer sur Apollo et de marcher sur la lune pour éprouver les vertiges de l'originalité. Les émotions attendent sous nos pieds. Frémeaux et Associés recherche les enregistrements oubliés, enfouis dans les archives et les collections privées du monde entier. L'éditeur missionne des chercheurs d'or. La pêche fructueuse sur Vian (photo) nous grise encore. Le feu d'artifice, en trois disques, a notamment pour but d'éclairer l'oeuvre de l'immense artiste à travers les interprétations de divers chanteurs (dont lui-même). « Boris Vian est un de ces aventuriers solitaires qui s'élancent à corps perdu à la découverte d'un nouveau monde, la chanson », écrivait Georges Brassens. Qu'il compose du jazz; qu'il écrive des chansons, qu'il invente le rock français, Vian subjugue. Quelle intelligence dans les paroles! Cher Boris, on va encore avoir besoin de toi pour neutraliser les âneries qui nous attendent!... »
Par Bruno PFEIFFER – LIBÉRATION
- « Un document exceptionnel » par Chantsongs.wordpress.com


De sa naissance -le 10 mars 1920- à Ville-d’Avray à sa mort, le 23 juin 1959, Boris Vian a eu neuf vies. Journalisme, roman, chansons, musiques, scénarios… : il s’est essayé à tout. Vian est l’archétype de ces jeunes qui ont eu 20 ans en 1940, qui ont  subi la guerre sans y participer et qui ont un formidable appétit de vivre. Tout l’intérêt de ce coffret passionnant est de nous montrer toutes les facettes d’un artiste qui ne fut sans doute pas le plus grand chanteur interprète du moment mais a marqué de sa griffe bien des artistes. On y découvre quelques partitions vraiment originales. Bien sûr, il y a Boris qui chante Vian, découvert par Jacques Canetti,  dans le premier CD du coffret avec des classiques de La Java des bombes atomiques au célèbre Déserteur qui fit scandale. Plus étonnant, une rareté signée Fredo Minablo pour une reprise décalée de Bambino où l’humour ravageur de l’auteur de L’Ecume des jours fait mouche. Et puis, il y a l’artiste qui propagea le rock’n'roll en français et que l’on découvre sur le CD 2. Henri Salvador ouvre le bal de ce qui fut, au départ, une plaisanterie. En juin 1956, il enregistre sous le nom d’Henry Cording quatre titres dont Va t’faire un cuire un œuf man ou Rock en Roll mops dont les paroles sont farfelues à souhait. D’autres délires naîtront entre Boris et cet Henry là. »
Par François CARDINALI – CHANTSONGS.WORDPRESS
- « Un document exceptionnel » par On mag
« Ce triple album est avant tout un document exceptionnel. Le premier CD est divisé en deux parties : tout d’abord les chansons de Boris Vian chantées par lui. Des chansons avec un ton différent, une forme nouvelle d’humour, un antimilitarisme forcené et un goût avide de la liberté.
Boris Vian vit au milieu de la jeunesse, plus ou moins dorée, du Quartier latin, entre zazous et existentialistes. Cette génération qui a eu vingt ans en 1940 (« drôle de cadeau d’anniversaire », dira-t-il) et qui a subi la guerre sans la faire, veut vivre avant tout. Pour ceux qui n’ont jamais entendu chanter Boris Vian, disons-le tout net, il existe de meilleurs chanteurs, mais le document vaut par la qualité des onze chansons. On ne compte pas celle qu’il chante sous le nom de Fredo Minablo et sa pizza musicale, pochade pour se moquer de « Bambino », la scie de l’époque. La seconde partie du CD est consacrée à Boris Vian, inventeur du rock n’ roll français, avec les enregistrements historiques que réalisèrent Henri Salvador, sous le pseudo d’Henry Cording, (inénarrables «Rock n’ roll mops ou « Rock hoquet », accompagnés au piano par Michel Legrand) et la délicieuse chanteuse Magali Noël et son rock sado-maso « Fais-moi mal, Johnny » qui reste une perle, cinquante-six ans après. On voit à quel point un bon chanteur ou une bonne chanteuse pouvaient orienter le rock, avec un auteur tel que Boris Vian, vers d’autres horizons. Le rock comique à la française nous aurait sans doute évité bien des travers nunuches du yé-yé.
Le deuxième CD est un catalogue de « saucissons », comme on disait, de « tubes » comme Boris Vian les a appelés et comme on dit aujourd’hui. Pourquoi « tubes » ? - Parce qu’un tube est creux, ajoutait-il très lucidement. Le succès comme auteur de chansons déborda Boris Vian. Ses finances étant proches de zéro et le « tube » de rock étant assez rentable, il en composa à la chaîne et cela donne un florilège assez croquignolet, avec des nanars considérables, chantés par des artistes qui faisaient ce qu’ils pouvaient (les chanteuses Peb Rock, Elise Vallée, Simone Alma, les chanteurs Rock Failair, Danyel Gérard (vous avez remarqué le « y » pour faire chic), Didier Lapeyrère, Gabriel Dalar, Zack Matalon, Roland Gerbeau, Juan Catalano, Stephen Bruce et même Moustache et ses moustachus. Le recours à la cheville de choc, aux jeux de mots pas toujours laids ne parviennent pas à oblitérer le style, le clin d’œil complice, le j’m’en foutisme bon teint et la vitalité de Boris Vian.
Le troisième CD, lui, reprend des chansons écrites par Boris Vian et chantées par de vrais grands chanteurs : Henri Salvador, Mouloudji, Renée Lebas, Suzy Delair, les frères Jacques, Juliette Gréco, Jacqueline François ou les Quatre barbus. Et par d’autres moins connus : Rose Mania, Lona Rita, Jean-Louis Tristan, les Garçons de la rue dans un désopilant « Tango poivrot », Louis Massis, Pierre Brun avec une Marche turque de Mozart « arrangée » en cha-cha-cha (l’excuse étant : Mozart ne méritait pas ça, mais faut bien vivre). A noter « Je chasse » par une excellente Elise Vallée. Le pompon va incontestablement au « Tango interminable des perceurs de coffres-forts » par les frères Jacques, qui est un monument de drôlerie. Au total, des documents rarissimes sur un auteur prolixe dont le talent n’est plus à louer. On attend avec impatience la suite, car, pour le moment, on a repéré plus de cinq cents chansons de Boris Vian, paraît-il. Y’a du pain sur la planche. »
Par Michel BEDIN – ON MAG
- « Un humour jubilatoire » par La Revue des médiathèques
« Après l'Intégrale Serge Gainsbourg, Frémeaux et Associés, sous la direction artistique d'Olivier Julien, s'attaque à Boris Vian avec une première anthologie des années 50. 3CDs et 64 titres plus tard, on comprend combien ce trublion génial a su flirter avec les genres musicaux pour se créer un répertoire unique, jazz et rock 'n'roll, bouleversant les codes et les genres. Et surtout en conservant un humour jubilatoire. Les textes sont magnifiques de second degré et de sens critique. Il nous manque tellement de la pataphysique, aujourd'hui ! »
Par Lucas FALCHERO – REVUE DES BIBLIOTHEQUES ET MEDIATHEQUES MUSICALES
- « Des conditions d’écoute excellentes, comme toujours chez Frémeaux » par Trad Mag
A l’écoute de ce coffret consacré à Boris Vian, on se rend compte combien les chansons, textes et musiques de ce créateur, auteur de plus de cinq cents chansons, ont conservé leur qualité et leur modernité. On pourrait penser que les morceaux, crées il y a une cinquantaine d’années, seraient devenus désuets. Il n’en est rien. Qui aujourd’hui oserait écrire « le petit commerce » qui fustige les marchands de canons, sans même parler du « Déserteur » ? Cet humour acide, railleur (J’suis snob) voire corrosif, qui sous-tend nombre de textes de Vian – comme ceux de Léo Ferré sans même parler de Georges Brassens – on aimerait bien le retrouver chez les jeunes et moins jeunes chanteurs français. En termes de censure, les lois du marché sont bien plus puissantes que la censure des années 1950 qui, elle, pouvait plus ou moins se contourner ou s’estomper avec le temps. Aujourd’hui, tout est permis, dit-on. Rien n’est moins sûr. Ecouter ces chansons des années 1950, c’est prendre un coup de jeune ! Comme relire les poésies, nouvelles et romans de Boris Vian. Ne boudons notre plaisir à écouter Magali Noël (l’indémodable « Fais-moi mal johnny »), Henri Salvador, Mouloudji, Juliette Greco, et beaucoup d’autres moins connus (en relation avec le coffret trois CDs « Saint-Germain-des-Prés » sorti chez le même éditeur en 2006) dans des conditions d’écoute excellentes,  comme toujours chez Frémeaux. En attendant un second volume Boris Vian qui devrait bientôt voir le jour.
Par Michel PLISSON – TRAD MAGAZINE
- « Le sommet de son œuvre » par Presto
Si vous aimez Gainsbourg, Dutronc, Nino Ferrer, Higelin, François Béranger, Odeurs, Jef Kino et les premiers Renaud, vous savez ce que beau monde doit à Boris Vian. Plus d’un demi-siècle après sa disparition , on n’est finit pas de célébrer sa modernité. Car s’il décéda avant la quarantaine, Vian consacra l’essentiel des cinq dernières années de sa vie à la chansonnette (il en écrivit plus de 500). Si ses fameuses Chansons possibles et impossibles (celles dont il se réserva l’interprétation) constituent certes le sommet de son œuvre chantée (avec « La Complainte du progrès » et « Le déserteur » pour principaux oriflammes), ses parodies et adaptations des débuts du rock’n’roll US s’avéraient le plus souvent d’aimables pochades (imaginez Louis Prima adapté par Le Grand Orchestre du Splendid). Y surnagent tout de même « Rock Hoquet » par Henri Cording (alias Salvador, adapté plus tard par Au bonheur des dames) et « 39 de Fièvres » (« Fever ») par l’obscur Gabriel Dalar. Le troisième CD de ce coffret exhume moult créations de commande, interprétées par des artistes aussi divers que les Frères Jacques, Juliette Greco et Mouloudji. Le meilleur y côtoie parfois l’anodin, mais des perles comme « La Valse jaune » (préfigurant « Il est cinq heures » de Dutronc-Lanzmann, voire le « Fier de ne rien faire » des Olivensteins) méritent amplement le détour. Patrick DALLONGEVILLE - PRESTO
- « Toute la morale du trompettiste » par Jazz Magazine-Jazzman
Boris Vian a composé près de 500 chansons. Elles ne sont pas toutes là (hélas), mais il y en a une soixantaine dans ce triple CD qui résume toute la morale du trompettiste : sensualité, humour, argot popu, be-bop et requin drôle (vf. De rock’n roll). Avec 27 interprètes garantis d’époque (fin des fifties) qui n’engendrent pas la mélancolie. FRS – JAZZ MAGAZINE-JAZZMAN
- « De quoi faire le délice des fans, et des amoureux du patrimoine » par Télérama
Avant de devenir le provocateur que l’on sait Serge Gainsbourg fut défendu par les autres, par les femmes surtout, mais aussi par Hugues Aufray, Jean-Claude Pascal ou… les Frères Jacques. Idem pour Claude Nougaro qui, avant de sortir son premier album, fut chanté par Philippe Clay, Lucienne Delyle, Colette Renard et Marcel Amont. Quant à Boris Vian, il devint chanteur presque par hasard, après avoir écrit pour Salvador et Renée Lebas. A chacun de ces trois géants, un petit coffret rend hommage, avec une anthologie de vieux enregistrements des années 1950. On les entend défendre eux-mêmes leur répertoire, d’une voix pas toujours très assurée. On entend aussi leurs interprètes, souvent plus aguerris. Et visionnaires. De quoi faire le délice des fans, et des amoureux du patrimoine. V.L.-TELERAMA
- « Au service des jeunes pionniers du rock hexagonal » par l’Enseignement
Boris Vian est catégorique : le rock’n’roll, en France, ça ne marchera jamais, ou, à la rigueur, dans une version comique. Il se lance donc dans l’écriture de Rock and roll mops et autres Rock hoquet. Big Mike (Michel Legrand) met en musique. Henry Cording (Henri Salvador) entre en studio en compagnie du gratin du jazz de la capitale. Et le succès est immédiat. Boris Vian persiste avec Magali Noël (Fais-moi mal Johnny !) et signe avec Rock Failair (Requins drôles). Après quoi, il garde le rythme mais renonce aux sarcasmes pour mettre sa plume au service des jeunes pionniers du rock hexagonal. Il adapte des tubes d’outre-Atlantique pour Danyel Gérard (D’où reviens-tu Billie boy ?) ou Gabriel Dalar (39 de fièvre). Ce chapitre de l’histoire de la chanson occupe un gros tiers de cette anthologie de 64 titres gravés par Boris Vian et ses interprètes – des plus connus (Juliette Gréco, Mouloudji…) aux plus obscurs (Lona Rita, Stephen Bruce…) – dans les années cinquante. René TROIN – L’ENSEIGNEMENT
- « Une merveilleuse anthologie » par l’Education musicale
« Cette merveilleuse anthologie réunit « Boris Vian chante Boris Vian » (CD 1), « Boris Vian & le rock’n’roll français » (CD 2), « Boris Vian par ses interprètes : les créations » (CD 3).  Chaque CD comportant, en bonus, des raretés et quelques inédits…  Reprises par notamment : Henri Cording (Salvador), Magali Noël, Rock Failair, Danyel Gérard, Moustache, Renée Lebas, Mouloudji, Suzy Delair, Juliette Gréco, Jacqueline François, Les Frères Jacques, Les Quatre Barbus…   Notice (24 pages) signée Olivier Julien. » Par Francis B COUSTE – EDUCATION MUSICALE
Liste des crédits sur ce CD :
Boris Vian , Jimmy Walter , Alain Goraguer , Harold Berg, Fredo Minablo , Guiseppe Fanciulli , Jacques Larue, Vernon Sinclair , Henri Salvador Et Son Original Rock And Rolls Boys , Mig Bike , Magali Noël , Peb Rock Et Les Rocking Boys , Rock Failair Et Son Orchestre Des P'tits Milliardaires , Eddie Barclay , Jean-pierre Leandreau, Danyel Gérard , Scott Raymond , Didier Lapeyrere , Justis Bill , Sid Manker, Gabriel Dalar , Sheb Wooley , Zack Matalon , Joël Newman , Geoff Love , Elise Vallée , Raymond Scott , Roland Gerbeau , Lou Bartel , Juan Catalano , Jerry Livingstone , Moustache Et Ses Moustachus , Stephen Bruce , Simone Alma , John Davenport , Eddie Cooley, Jacques Dieval , Mouloudji , Marguerite Monnot , Renée Lebas , Suzy Delair , Les Frères Jacques , Pierre Brun , Wolfgang Amadeus Mozart , Louis Massis , Jean-louis Tristan , Michel Muller , Lona Rita , Géo Dorlis , Louis Guglielmi, Juliette Gréco , André Popp , Jacqueline François , Albert Van Dam , Pierre Arrimi Et Son Orchestre , Alain Goraguer Et Son Ensemble , Rose Mania

3 CD.

Type article
CD
1871

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